Après une première découverte du caillou plus tôt dans l’année à Grenoble, Juliette est de retour pour me jouer de mauvais tours découvrir la course d’arête. Objectif : le pic du Pin par l’arête S.

Une vue d’ensemble de la journée (enfin de l’après-midi) depuis le habert d’Aiguebelle. De droite à gauche : le pas de la Coche (pas sur la photo), la pointe 2197m, la crête du Pin, le pic du Pin, le col de l’Aigleton, la dent du Pra (je crois). On monte ensuite au pas de la Coche, et sa vue sur les Grandes Rousses. Après quelques déboires pour rejoindre l’arête (en fait fallait pas trop suivre la dépression indiquée sur le topo c2c sinon, en déprimant vraiment fort, on atterrit sur le sentier… glups), nous voilà dessus. Maintenant, c’est rando (oui bon du sentier on peut rejoindre l’arête en traçant tout droit mais euh ça grimpe et c’est franchement merdique1) ! Et il ne reste que la redescente, et on est en bas presque à l’heure fixée (bon, pas vraiment, on peut p’têt oublier cette partie là).

Note : un anneau de cordelette a été posé sur un arbre pour descendre en rappel (je récupère au passage une dégaine abandonnée !). Ne pas l’utiliser : il y a un relai chaîné pour descendre en rappel à la base du couloir, et 50m plus bas main droite. Possibilité donc de descendre 100m en rappel pour les cordées équipées, ce qui fait du bien vu le caractère infernal de la descente (pierrier de Belledonne…).

Footnotes

  1. Dédicace aux bouquetins croisés dans la remontée, bien surpris de nous trouver là…