Premier jour : j’emmène Arthur et Baptiste en flèche. Accès trop expo par vire du grand rappel pour la Lionne, on se lance finalement dans la Si-Ray. Très belle voie mais attention au tirage très violent sur la longueur avant le rappel. Prendre un maillon rapide neuf pour le rappel peut être une bonne idée : il y en a déjà 4/5 en place mais ils sont bien rouillés. J’en ai laissé mais ça a l’air de se dégrader très vite.
En-Vau, côté mer.
Redescente en léger par les rappels du secteur Passerelle (bien savoir où on descend ou être sûr que sa corde fait 50m et rester serein). Puis remontée par la classico-classique Saphire.
Deuxième jour : cette fois-ci, j’emmène Baptiste et Gabriel dans l’intégral des Sans-Soucis. Très sympa, belle ambiance d’arête mais attention, il y a au moins un mille-pattes (il avait vraiment beaucoup de pattes).
En-Vau, côté terre.
La vue depuis le plateau de Castelvieil.
Remontée en express et classique course jusqu’à Cassis. La navette n’a pas de place pour tout le monde malheureusement. On est que 4 à monter dedans, les 5 autres doivent marcher… et n’auront pas le TER.
Je pars seul dans le TER direction Marseille pour aller acheter des pizzas pour sustenter tout le monde. Difficile de trouver un truc ouvert et rapide… Big up au fast food où “pizza” était écrit partout, qui m’a laissé attendre 5min avant de réaliser qu’ils n’avaient pas de four à pizzas… Everything’s fine in here. Ça m’aura permis de rencontrer un pizzaïolo très sympa avant d’enchaîner pour rentrer dans le TGV de justesse avec le reste de la troupe qui revient du TER.
Enfin, c’est la naissance et la première mise en application de la pensée factorisée.